Le manque de moyens et l'absence d'une nomenclature représentative dans les cabinets de psychiatrie ambulatoire résonnent lourdement dans les statistiques d'invalidité récentes de l'INAMI, dans les indicateurs européens, mais aussi dans la saturation des services d’urgence et des hôpitaux psychiatriques. À force de sous-financer structurellement la psychiatrie ambulatoire, ce sont à la fois les patients et l’État qui en paient le prix.
« Au niveau des collaborations entre les hôpitaux, il y a des choses qui bougent dans le chef des directions hospitalières », constate Pascal Mertens, membre du Bureau de l’Association belge des directeurs d’hôpitaux. Des propositions concrètes sont en préparation.
Médecin ou exécutant ? La dévaluation rampante d’une vocation (Dr.J. Coveliers)
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